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Julien Benneteau

134K views 900 replies 124 participants last post by  Mae 
#1 ·
I'm trying to start a thread for Julien Benneteau :) :D :) I don't know much about him :shrug: but I've watched a few matches of him and I think he is talented and very goodlooking :hearts: I'll be glad if you could help me with some more information and pictures :help:
Thanks,
Chris :)
 

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#860 ·
yes poor boy. He turns 31 in december and still no title :sad:

KUALA LUMPUR (ATP 250, indoor)

Pas encore pour sept fois

Touché au bras et battu par Juan Monaco (7-5, 4-6, 6-3), Julien Benneteau aura

au moins besoin d’une huitième chance pour remporter son premier titre.

IL A ESSAYÉ au Maroc, en Australie et aux États-Unis. En France aussi, bien sûr. Et même en Malaisie, c’était hier. Il a essayé sur dur, sur terre et indoor. Rien n’y fait, Julien Benneteau ne remporte pas ses finales sur le circuit principal. Sept essais, sept plateaux de finalistes. Dans les années 1990, Cédric Pioline avait attendu sa dixième. La cause est d’autant moins perdue que « Bennet’ » n’a clairement fait aucun blocage psychologique, hier, face à l’obstacle « finale ». C’est plutôt le bras qui a lâché : « À la fin de l’échauffement, sur l’un de mes derniers services, j’ai ressenti une décharge violente. J’avais eu une alerte vendredi mais, depuis, ça allait. »

Le Bressan se fit bander le haut de l’avant-bras droit, juste en dessous du coude, avant d’attaquer, face à Juan Monaco (11e), une finale qui semblait à sa portée au lendemain de sa victoire contre David Ferrer (5e) et compte tenu de l’incapacité de l’Argentin à gagner ailleurs que sur terre. « Je savais que si je reproduisais ce que j’avais fait ces derniers jours, j’allais gagner, expliqua Benneteau sans fanfaronner. J’étais dans un bon état d’esprit. Forcément, le temps que le bras chauffe, la gêne a été très forte au service. Mais à aucun moment du match je n’ai voulu faire reposer là-dessus ma frustration. Pourtant, il y a quelques mois, j’aurais capitulé avec un problème pareil. »

On n’a pas assisté, hier à Kuala Lumpur, à la finale de l’année. Un premier set sans queue ni tête dans lequel Benneteau a remporté les deux premiers jeux puis s’est retrouvé mené 5-3, 40-0. Mais Monaco n’était pas non plus d’une constance folle et il manqua ses trois premières balles de set. Puis huit autres (!) lorsque Benneteau servit à 5-6. La douzième balle de set, au bout de 1 h 20’ et d’un ultime jeu de 21 minutes, fut la bonne. Malgré son bras branlant, le Français domina la deuxième manche et se procura même la première balle de break de la dernière, à 2-2. En vain. L’humidité (« monstrueuse, qu’est-ce qu’on transpire ici ! ») et les efforts des deux premières heures et demie face à Monaco, tout aussi combatif que ses coups ne sont pas décisifs, eurent raison des dernières résistances du Français (7-5, 4-6, 6-3 en 3 h 1’).

Restait à regarder encore un trophée lui passer sous le nez, lors de la cérémonie de clôture, et à se tourner vers une suite incertaine : « On s’envole à minuit pour un vol de six heures vers Pékin, mais j’ai très peur de l’état de mon bras demain matin. J’irai consulter un docteur très rapidement, mais pas sûr que je puisse m’aligner. » Comme si la coupe n’était pas pleine (ou vide, selon où l’on se place), ce vol de nuit devait aussi empêcher ce grand fan de golf de suivre le dénouement de la Ryder Cup. – J. Re.
 
#863 ·
On lemonde.fr

Julien Benneteau veut doubler la mise

Julien Benneteau savoure des congés bien mérités. 37e au classement ATP, le tennisman a bouclé au Masters 1000 de Bercy, fin octobre, une saison longue et fastueuse. "La meilleure de ma carrière", estime le natif de Bourg-en-Bresse (Ain). Eliminé en trois sets au second tour du tournoi parisien par son compatriote Jo-Wilfried Tsonga, le joueur de 30 ans s'attelle désormais à "l'entraînement invisible" que constituent les vacances hivernales. "Je souhaite simplement me reposer, voir des amis, profiter du temps avec ma compagne, glisse Julien Benneteau. Soit tout ce qui me mettra dans de bonnes dispositions pour entamer la saison 2013."

L'année écoulée fut émotionnellement éprouvante pour le Bressan. Associé à Richard Gasquet, le trentenaire a remporté, le 4 août, la médaille de bronze en double lors des Jeux de Londres en battant le tandem espagnol Lopez-Ferrer. Le même jour, la paire Tsonga-Llodra raflait l'argent et confirmait la réussite du clan tricolore. "Même au tennis, une médaille aux JO représente le Graal, assure Julien Benneteau. Elle est arrivée au moment où je jouais mon meilleur tennis. Entre les Grands Chelems et les divers tournois, les Jeux étaient un des objectifs majeurs de ma saison."

Accoutumé à fouler les courts herbeux de Wimbledon chaque été, le tennisman a abordé avec une curiosité amusée les Jeux londoniens. "On était un peu à l'écart des autres athlètes, on n'a guère pu profiter du village olympique, confie Julien Benneteau. Mais on s'est vraiment sentis dans l'atmosphère de la compétition. Le public n'était pas constitué d'habitués de Wimbledon." Profitant du forfait pour blessure de son compatriote Gaël Monfils, le 5e joueur français au classement ATP a même été repêché pour disputer le tournoi en simple. Il a été éliminé par Roger Federer (2-6, 2-6) en 16e de finale.
S'il a connu la "reconnaissance médiatique" des médaillés olympiques, Julien Benneteau confesse avoir subi un "contrecoup" deux semaines après ce succès. "Je n'ai pas eu le temps de savourer puisque j'ai disputé dans la foulée le tournoi de Toronto, explique le joueur. Par rapport à d'autres athlètes qui disposent d'un break post-JO, on doit être sur le pont dès le lendemain à cause du calendrier ATP." Le Bressan, qui a achevé sa saison en se nourrissant des "souvenirs de Londres", espère prolonger cette belle spirale l'an prochain. Parmi ses objectifs, il souhaite conforter sa place au sein de l'équipe de France de Coupe Davis. Spécialiste du double, il attend avec bienveillance la prise de fonctions d'Arnaud Clément, le nouveau capitaine des Tricolores. "Il partage les mêmes valeurs que son prédécesseur Guy Forget", considère-t-il.

Parallèlement à son parcours en simple, il entend peaufiner ses automatismes avec Richard Gasquet. "Le double m'a permis d'évoluer en équipe de France et d'être médaillé olympique", rappelle le joueur, qui s'estime "plus complet qu'il y a sept ou huit ans". Celui qui fêtera en décembre ses 31 ans ne songe pas à sa retraite sportive. "Je vais faire partie des joueurs trentenaires qui arrivent à jouer longtemps tout en étant performants", indique-t-il. La saison écoulée tend à confirmer cette hypothèse.
Google translation will help you but it seems he would play again some matches with Gasquet.

A video not recent and in french. Interview with Nico Mahut
http://vimeo.com/44761371
 
#870 ·
Benny :sad: :awww:

He fought till the end, but it wasn't enough. :sadface: He thanked his coach, said they're getting closer and he thinks he can win his first title with him this year.
He also congratulated Delpo, thanked the organization and his girlfriend. She was there today and yesterday, so I guess they're back together. :) Then he thanked the crowd and he hopes to see them next year. He surely was disappointed, but it didn't really show. I guess the breakdown will come in the locker room. :awww:

It was funny during the second set when Delpo suffered from a nose bleed. Benny made some gestures to the umpire to ask if he retired. Wishful thinking. :lol:
 
#871 ·
I was not able to watch the match but Del Potro was not an easy challenge for him. Well his record in finals is quite ridiculous but it means nothing about his talent, he deserves a title but with his current level of play it can happen every week.

He thanked his coach, said they're getting closer and he thinks he can win his first title with him this year.
He also congratulated Delpo, thanked the organization and his girlfriend. She was there today and yesterday, so I guess they're back together.
Yes Karen was already back around during Bercy, it was surely a very few months break between them. I saw her in the crowd of Davis Cup first round so personnal life is also getting well for Julien.

He goes to Marseille now but with the fatigue it will surely be tough. Good luck anyway.
 
#877 ·
Janowicz defeated Julien 3-6, 6-3, 7-5, R1 Rogers Cup

Frustrating match. Julien was very solid in the 1st set but made more errors after that. Janowicz was not at his best either - Julien had chances, but unfortunately hit 3 double faults at 5-5 in the 3rd set to give the break.

Better luck for the doubles :)
 
#878 ·
Hi guys, got to see Julien and Nenad Zimonjic play one match during my trip to the Open, took a few pics, and thought I'd share. Hope you'll have a look!

Also, in case anyone's interested, got some more French content in form of Richie vs Tursunov and have a look! Also, in case anyone's interested, got some more French content in form of Richie vs Tursunov and Richie vs Raonic."]Richie vs Raonic[/URL]. Plus tons of other photos, in case anyone's interested.

Cheers!
 
#880 ·
Oh Julien... :hug:Heartbreaking result for him, losing 2-6,7-5,6-4 in the KL final.

He played a fantastic first two sets - taking Sousa to at least 30 on just about every service game in the 2nd set - and had a match point at 5-4, but Sousa hit an unbelievable passing shot and went onto hold. Sousa broke for 6-5 and comfortably served for the set.

Julien had 2 poor games at the start of the the 3rd - with Sousa now flying - and went down 2-0. All credit to JB, he came back really strong when he could have folded completely, and the 3rd set was fantastic, with some great tennis from both players. They both faced BP's on their service games - but Sousa held onto an epic 8th game, which lasted over 10 minutes, saving 3 break points. Sousa saved one with a good serve, but Julien missed two with errors.

Julien had one more break point in the final game but couldn't convert. He saved a MP with some gutsy play, but Sousa won with his second.

One of those matches where you didn't want either player to lose after how hard they both fought, but today was not meant to be for Julien.:hug: He's shown some great play this week though, and hadn't lost a set before today.

Fantastic crowd and atmosphere in KL - lots of vocal support for both players and a very appreciative audience. Great match to watch but oh so sad for Julien. :hug:

I hope he gets another chance to win a title.
 
#882 ·
He's 32 in december it's time to win one

Rien de neuf

Neuvième finale et neuvième échec pour Julien Benneteau. Cette fois-ci, le Français s’est procuré une balle de match contre Joao Sousa. Cruel.

Ç’AURAIT PU ÊTRE PLIÉ en une heure douze, et l’on aurait salué (enfin) le premier titre de Julien Benneteau au terme de son 224e tournoi ATP. C’était quasiment écrit. Offensif, entreprenant, brillant à la volée, le Bressan s’amusait d’un Joao Sousa qui n’avait vraiment pas un bon revers. À 6-2, 5-4, 30-40, le Français remettait parfaitement un premier service, montait idéalement sur la balle courte qui s’ensuivait… et se faisait cueillir par un passing faramineux de coup droit long de ligne, d’un genre que le Portugais doit faire une fois l’an. Difficile de ne pas voir une espèce de main noire dans ce scénario d’une infinie brutalité. Difficile aussi d’oublier que Benneteau, qui ne marqua plus que quatre points sur les vingt-deux qui suivirent, se noya quelques minutes dans une fébrilité inadaptée aux grands moments d’une carrière. Deux destins se croisèrent alors, entre le blues du briscard de trente et un ans et la fougue d’une nouvelle tête de vingt-quatre ans qui avait seulement fêté la semaine dernière sa première demi-finale du circuit à Saint-Pétersbourg.

« Le destin n’était pas en ma faveur »
Surprenante machine à pilonner en coup droit, Sousa asphyxia progressivement Benneteau, qui rata quatre occasions de débreaker dans le troisième set, dont trois à 4-3 sur un jeu étouffant de dix minutes trente. Une heure six après avoir failli rêver, le Français ne pouvait alors que méditer sur la stat édifiante de son adversaire, qui n’avait pas flanché malgré l’inexpérience et une fin en mode sueurs froides : une finale, un titre. Et, même s’il voulait se convaincre qu’il « n’avait pas grand-chose à se reprocher », ni dans son approche, ni sur la balle de match, le Français savait qu’il allait devoir boire pas mal de bière avant de prendre son avion pour Pékin pour oublier l’inoubliable. « C’est cruel, c’est le sport. Même à froid, ça sera dur. J’ai l’impression que celle-là, elle me fait mal… Il va falloir garder le moral, mais bien sûr que je me dis : putain, on veut pas de moi… Pourtant, je me sentais fort. Même après mon fléchissement en fin de deuxième set, je ne suis pas abattu, je veux aller le chercher, ce titre, pour ne pas avoir de regrets. Et je donne tout, et… c’est dur. Sousa, j’ai envie de dire que c’était sa semaine. Un 77e mondial qui fait un troisième set de dingue comme ça… »

Comme dans beaucoup de ses neuf finales, où le classement moyen de ses tortionnaires est fixé à 46, on s’était dit que le Français avait une occasion en or. Et si c’était jamais, et s’il était maudit ? « Honnêtement, concluait-il, je n’ai pas d’explication. Ce n’est pas comme si je les perdais en cinquante minutes. Là, on pourrait dire qu’il y a un truc. Aujourd’hui, le destin n’était pas en ma faveur. »

FRANCK RAMELLA
 
#885 ·
^^^ Aww Julien. :hug: :hug: :hug: That is so sad. :sad: But at least Europe winning the Ryder Cup today made him happy.
 
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